Un aspect critique du fonctionnement des écosystèmes est leur stabilité. La stabilité écologique est clé dans le maintien de la biodiversité et la durabilité des sociétés humaines, sur lesquelles des fluctuations dans les services écosystémiques ont souvent des effets négatifs. Nous nous concentrons actuellement sur le développement d'approches nouvelles pour quantifier et comprendre la stabilité des écosystèmes dans le temps et l'espace. Nous testons également de manière expérimentale les effets de diverses communautés de plantes et de symbiotes sur la stabilité des fonctions des écosystèmes.La stabilité a été définie de nombreuses façons qui ont été étudiées en isolation jusqu'à présent. Nous établissons des connexions entre différentes métriques de stabilité, en particulier des métriques empiriques et théoriques, et construisons un nouveau corpus théorique pertinent pour les études empiriques. En particulier, nous explorons de nouvelles mesures d'invariabilité, et relations entre stabilité et aire ou échelle dans les métacommunautés.
Personnes impliquées dans ce thème de recherche : Jean-François Arnoldi, Matthieu Barbier, Robin Delsol, Grégoire Freschet, Claire de Mazancourt, Grégoire Freschet, Bart Haegeman, Michel Loreau, Jose Montoya, Daniel Montoya, David Shanafelt, Yuval Zelnik.